Un duo improbable par Jill O’Reilly. Voici le résumé et l’extrait, les votes et avis des lecteurs ainsi que l’accès direct au livre.
Un duo improbable, en effet, il s’agit de la rencontre de deux êtres aux antipodes l’un de l’autre.
Découvrez maintenant le résumé ainsi que l’extrait de ce roman signé Jill O’Reilly.
Que lire ? C’est une question que l’on se pose parfois. Et si vous vous laissiez tenter par une auteure auto-éditée.
Un duo improbable, le résumé :
Nom : Maxine Cavanaugh
Profession : détective privé
Client : Scott Faraday
Mission : rechercher un membre de sa famille.
Particularité : il est fort probable que cette personne n’existe pas.
Comme si la mission n’était pas déjà assez compliquée, Scott Faraday a, en plus, des exigences.
Il veut être au courant de ce que je vais faire avant de l’accomplir.
Même si ce n’est pas dans mes habitudes, je m’en accommoderai.
Il veut être informé de tout ce que je découvrirai.
Evidemment !
Il veut… m’accompagner partout où j’irai.
Alors, là, hors de question !
Extrait :
Lorsque son tout premier client se présenta, Maxine Cavanaugh était plongée dans le nettoyage du bureau dont elle venait d’hériter. Curieusement, au lieu de la faire frissonner d’excitation, le coup rapide frappé à la porte lui arracha un soupir irrité.
Franchement, elle n’offrait pas l’image qu’elle aurait souhaité donner à un éventuel client, aujourd’hui ! Par malchance, elle était vêtue d’un cycliste noir et d’un T-shirt trop grand. Ses cheveux noirs refusaient la discipline de la queue-de-cheval et – pire que tout – elle était trempée de sueur.
Tant pis, conclut-elle, le client penserait ce qu’il voudrait ! Après tout, l’apparence d’une enquêtrice ne préjugeait pas de ses talents ! Oui, mais la jugerait-on à son bureau ? se demanda-t-elle, inquiète.
Dans ce minuscule espace confiné qui semblait pour l’instant encore moins professionnel qu’elle-même, Maxine en était encore à étudier et trier les dossiers de son grand-père, et les archives s’empilaient dans les cartons. Le soleil éclairait impitoyablement la poussière accumulée sur le vieux bureau à cylindre, dans le coin, ainsi que les armoires à classeurs qui le flanquaient de part et d’autre. Un instant, la jeune femme songea à ignorer le visiteur, quel qu’il soit. Il était décidément prématuré d’ouvrir le cabinet d’investigations ; elle avait un millier de choses à faire avant même d’accrocher sa plaque !
Seulement, il ne te reste que cent soixante-dix-huit dollars et trente-six cents sur ton compte bancaire, lui rappela la raison. Avec quoi allait-elle se nourrir, si elle refusait ce client et l’acompte qu’il lui verserait sûrement ?
Maxie s’essuya le visage et se dirigea vers l’extérieur. Elle se battit un instant avec la serrure rouillée de la porte avant de pouvoir enfin ouvrir… Et là, elle eut une espèce de choc…
