Tue-moi si tu veux par Adam Croft. Voici le résumé et l’extrait du roman, les votes et avis des lecteurs ainsi que l’accès direct à l’ouvrage.
Tue-moi si tu veux par Adam Croft qui est l’un des auteurs britanniques les plus populaires du moment. En effet, il a vendu à ce jour plus d’un million de livres.
Son thriller psychologique Tue-moi si tu veux devient rapidement un best-seller aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, avec plus de 150 000 exemplaires vendus en cinq mois. En 2017, son dernier livre, Only The Truth, caracole également en tête des meilleures ventes mondiales sur Amazon US et Amazon UK, devant J.K. Rowling.
Adam Croft a fait l’objet de nombreux reportages télévisés, à la radio ou dans la presse écrite, notamment sur la BBC, la BBC Radio, dans le Guardian ou encore le Huffington Post. Il participe régulièrement à des rencontres et des débats autour de l’avenir du livre et de l’édition numérique.
Tue-moi si tu veux, le résumé :
La vie de Nick Connor paraît enviable à plus d’un titre : un roman à succès, une jolie maison, une vie de famille épanouie aux côtés de Tasha, sa femme, et de leur fille de cinq ans, Ellie. Ce bonheur de façade se brise le jour où Ellie est enlevée sur le chemin de l’école. Soumis à la pression médiatique et policière, Nick et Tasha s’éloignent l’un de l’autre.
Mais le pire reste encore à venir. Le ravisseur d’Ellie pose à Nick un ultimatum terrible : s’il veut revoir sa fille vivante, il doit assassiner sa femme. Un compte à rebours implacable se met en place. Qui est le ravisseur d’Ellie ? Nick pourra-t-il échapper à cet odieux chantage sans commettre l’irréparable ? Et si, sous ses airs de père et de mari modèle, Nick était en partie responsable de cette tragédie ?
Tue-moi si tu veux, l’extrait :
II m’arrive de me dire que l’unique raison pour laquelle Nick et moi sommes toujours ensemble, c’est Ellie. Je déteste devoir le dire, mais c’est probablement vrai. Et je crois que je l’ai toujours su. Bien entendu, je ne dis pas que nous avons eu Ellie pour éviter une séparation, mais au fond de moi je crois bien m’être demandée si le fait d’avoir un enfant changerait quelque chose à notre relation. Ça été le cas, mais pas comme je m’y attendais. La joie initiale a été de courte durée quand j’ai fait part à Nick de ma volonté de retourner travailler plus tôt que prévu. Plus tôt qu’il ne l’avait prévu lui, en tout cas.
II voulait que je prenne les vingt semaines complètes, affirmant que nous pourrions nous en sortir avec la double allocation par enfant. Gérer un budget n’a jamais été son point fort, mais je pensais tout de même qu’il se rendrait compte qu’échanger mon salaire contre cent vingt livres par semaine, ça n’allait pas être possible. Pas avec un enfant en bas âge. Pas avec ses revenus aléatoires. S’il y a une chose dont j’ai fait un impératif, c’est bien de pouvoir subvenir aux besoins de mon enfant, lui offrir tout ce qu’elle mérite.
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