Tu me rends fou par Isabel Keats. Voici le résumé et l’extrait de l’histoire, les votes et avis des lecteurs ainsi que quelques mots concernant l’auteure.
Tu me rends fou. Entre une obsédée du contrôle et un impulsif chronique, l’amour trouvera-t-il sa place ?
Mais pour commencer, voici quelques mots concernant l’auteure, Isabel Keats :
Isabel Keats n’est qu’une femme ordinaire qui un jour a eu envie d’écrire. Mère de famille nombreuse (chien compris), elle a la chance d’avoir quelque chose de plus précieux que l’or: du temps libre, même si ce n’est pas autant qu’elle le souhaiterait.
Elle aime la romance et aime les fins heureuses, alors en bref, elle écrit de la romance parce qu’à ce stade de sa vie, c’est ce qu’elle veut le plus lire.
Isabel Keats est le pseudonyme qui cache une diplômée en publicité de Madrid, une épouse et une mère de trois filles. À ce jour, elle a publié près d’une douzaine d’ouvrages, dont des romans et des nouvelles.
Voici un roman qui nous rappelle combien il est merveilleux de tomber amoureux, et qui nous encourage à oser prendre le chemin du bonheur !
Tu me rends fou, le résumé :
Ali est une vraie Miss Maniaque ! Elle ne jure que par les petits-déjeuners hyper-protéinés, les joggings aux aurores et la propreté. Mais derrière ses obsessions et son anatomie de rêve, se cache une jeune femme qui cherche désespérément à mettre de l’ordre dans ses sentiments. Ali n’est pas heureuse, du moins pas encore.
Konrad, c’est plutôt Monsieur Cata, avec son quotidien sans horaires ni règles, et ses impulsions jamais refrénées, en amour comme ailleurs. Par chance, il est doté d’une prodigieuse créativité qui lui permet de bien vivre sans se priver. Konrad croit être un homme heureux, mais c’était sans compter Ali…
Si les contraires s’attirent, la rencontre entre ces deux personnalités que tout oppose se révèle explosive !
L’extrait :
J’avais fini par déduire de mes précédentes visites que c’était le même architecte qui avait bâti les deux maisons l’une à côté de l’autre. Une volée assez raide de marches latérales décolorées par les intempéries et l’air marin conduisait à chacune des entrées. Sur la façade décrépite de la maison voisine, distincte de la mienne uniquement par sa tonalité bleu gris délavée, une porte-fenêtre donnait sur une terrasse en planches brutes avec une vue impressionnante sur la baie du cap Cod.
Je notai malgré tout une différence colossale entre nos maisons : la mienne reluisait de propreté, alors que la plupart des meubles chez mon voisin disparaissaient sous une couche de poussière dont l’épaisseur se mesurait en millimètres. Dans les moindres recoins de son salon s’entassaient canettes de Coca et emballages en carton de plats à emporter, piles de revues et magazines d’un autre âge, livres et… chaussettes dépareillées à la propreté douteuse. Ça sentait le tabac froid et le renfermé. Je me félicitai de porter mon masque et mes gants.
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