Touchdown – Campus Star par Sonia Birdy. Voici le résumé et l’extrait de l’histoire, les votes et avis des lecteurs ainsi que l’accès direct au livre.
Touchdown – Campus Star, elle est du genre à fuir, mais le footballeur star du campus court plus vite qu’elle !
Au moment où est écrit cet article, Sonia Birdy à 23 ans. C’est une grande amoureuse de la littérature française et donc une grande lectrice. Depuis peu, elle s’est lancée dans l’écriture et ce qui a commencé comme un passe-temps est vite devenu une passion. Comme elle le dit : « Écrire c’est comme réinventer sa vie, faire rêver, faire voyager, faire ressentir des émotions. »
Touchdown – Campus Star, le résumé :
Rocky a eu un parcours chaotique dont elle a conclu trois choses fondamentales : la vie est une succession de problèmes à régler, les hommes sont des connards à éviter et les promesses n’engagent que les imbéciles qui veulent bien y croire.
Alors, contrairement aux autres filles du campus, les garçons ne sont pas une priorité pour elle ! Pire, elle les voit comme un obstacle à sa réussite. Sa mère était une éternelle amoureuse, Rocky ne sera jamais comme elle. Ça, elle se l’est promis !
Mais, lors d’une rare soirée étudiante qu’elle s’accorde avec ses deux meilleures amies, elle rencontre Jude. Fraîchement transféré de Harvard pour jouer comme wide receiver dans l’équipe de foot de Brown, Jude est la nouvelle star du campus. Il est beau, sexy, avec un sourire qui met le feu à votre petite culotte. Il est le genre de mec inaccessible qui ne s’attache pas. Le parfait candidat pour un one night stand.
Une nuit de sexe sans attaches, sans complications, c’est ce qu’ils cherchent tous les deux.
Problème ! L’alchimie est trop forte. Et si Rocky est déterminée à le fuir, lui est déterminé à la conquérir.
L’extrait :
– Tu ne dois pas aller en cours ou à l’entraînement ? Un mec comme toi, ça doit être occupé, non ?!
– Un mec comme moi ? demande-t-il en riant. C’est quoi, un mec comme moi ?
Un mec terriblement sexy, terriblement doué et terriblement sympa, à qui j’ai à nouveau envie de faire des trucs terriblement cochons.
– Ben, un athlète. Vous devez vous entraîner… quoi… trois fois par jour ?
– Deux, rectifie-t-il. Est-ce ta façon polie de me demander de débarrasser le plancher ? demande-t-il, amusé.
Je rougis. Et je ne suis vraiment pas du genre à rougir, mais depuis Jude, je ne fais que ça.
– Non, pas du tout, j’essaye juste de faire la conversation.
Et maintenant, je suis sur la défensive. J’ai l’impression d’être au jardin d’enfants, sauf que c’est moi le vilain garçon qui a envie de pousser la petite fille dans le bac à sable et de tirer sur sa queue.
Arrête de penser à sa queue, Rocky !
– Alors tu veux que je reste pour me dire que tu n’arrêtes pas de penser à moi, c’est ça ?
– Pfff, n’importe quoi ! Désolée de décevoir ton ego surdimensionné, mais j’avais autre chose à foutre que penser à toi. Je suis une fille très occupée.
Et l’Oscar de la meilleure actrice est attribué à… roulement de tambour… Rocky Prescott !
– J’ai cru comprendre. En tout cas, toi, tu m’as beaucoup manqué. Je n’ai pas réussi à te sortir de ma tête. Je ne sais pas si on te l’a déjà dit, Rocky, mais tu es un super coup. Et merde, je serais dingue de ne pas avoir envie de remettre ça.
Sa franchise me prend complètement au dépourvu. Je pensais qu’on allait jouer à un petit jeu de séduction du genre « Attrape-moi si tu peux », mais visiblement, ce n’est pas le style de la maison Hartnett. Le style de la maison Hartnett semble être « Je déballe tout sur le porche, et prenez ce que vous voulez ».
Accès direct au livre :