Sur ses traces de Robert Dugoni

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Sur ses traces de Robert Dugoni. Découvrez le résumé et un extrait du roman, quelques mots sur l’auteur et l’accès direct au livre.

Sur ses traces est le tome 8 de la saga Les enquêtes de Tracy Crosswhite. Chaque tome pouvant être lu séparément, vous n’êtes pas obligé de commencer par le un. Ci-dessous, vous retrouverez l’accès direct à chacun d’eux.

Robert Dugoni, brève biographie :

Né en Idaho et élevé en Californie du Nord au milieu d’une fratrie de dix enfants, Robert Dugoni est l’auteur de la série best-seller des « Tracy Crosswhite » : Le Dernier Repos de Sarah, Son dernier souffle, Dans l’ombre de la clairière, Prise au piège, Des morts si proches, Au prix fort et Fausses pistes, ainsi que du roman indépendant La Vie en rouge de Sam et des deux premiers volumes d’une nouvelle série mettant en scène l’ancien agent de la CIA Charles Jenkins, La Huitième Matriochka et L’Exfiltration.

Ses ouvrages, traduits dans une douzaine de langues, sont vendus dans plus de vingt-cinq pays. Lauréat de nombreux prix et concours, il est aussi l’auteur de la série des « David Sloane », encensée par la critique et encore inédite en France.

Sur ses traces, le résumé :

De retour au travail après un séjour prolongé dans sa ville natale de Cedar Grove, la détective Tracy Crosswhite se voit réaffectée au bureau des Affaires non élucidées de la police de Seattle. Jeune maman, elle décide de traiter le dossier de l’enlèvement d’une fillette de cinq ans dont les parents, en plein divorce, ont très vite été considérés comme les premiers suspects.

Tout en reconstituant les événements qui ont conduit à la disparition de la fillette, Tracy est amenée à épauler son ancien équipier Kinsington Rowe, chargé pour sa part d’enquêter sur une autre disparition, celle d’une joggeuse dans un parc du nord de Seattle deux jours plus tôt.

Pour résoudre ces deux énigmes, Tracy devra compter sur bien plus que de simples indices. Compte tenu de sa propre histoire tragique, elle devra se fier à son instinct, quels que soient les endroits sombres et dangereux où il pourra la mener.

Sur ses traces, les extraits :

…Elle s’était représentée une femme mal fagotée lui demandant constamment : « Et ça éveille quels sentiments chez vous ? » La mère de Tracy l’aurait qualifiée d’« Irlandaise noire » – le terme désignant simplement les Irlandais qui ont les yeux, les cheveux et le teint foncés. Tracy lui donnait la petite quarantaine, et, le teint clair mis à part, elle avait bien les cheveux bruns coupés court et les yeux noirs. Elle avait également une silhouette mince de joggeuse, et portait un jean et un pull bleu clair…
…Elle a la mine de quelqu’un qui chercherait à mettre le feu à une pièce par la force de l’esprit. Elle est svelte et semble coriace. Son chemisier et son pantalon sont tachés de graisse. Ses cheveux bruns sont noués en une queue-de-cheval qui lui descend jusqu’aux épaules, ses yeux d’un bleu vif ont une expression dure, comme si elle avait vu un paquet d’horreurs – ce que confirme la cicatrice large comme un doigt qui court entre sa mâchoire et son oreille droite. Elle est luisante et capte la lumière d’une manière particulière…
…Pour l’heure, elle avait surtout besoin de courir un peu. Avec ses soixante-trois kilos pour un mètre soixante-deux, elle n’était pas grosse, mais elle stockait surtout le tissu adipeux dans les jambes et dans les fesses, là où il était le plus difficile à éliminer. Et ce n’était pas en se sentant comme un Oompa Loompa qu’elle allait trouver l’âme sœur. Elle enfila un petit bonnet, mit ses écouteurs dans ses oreilles, et lança « I Don’t Care » de Ed Sheeran et Justin Bieber…