Sous un ciel écarlate par Mark Sullivan. Voici le résumé et l’extrait de l’histoire, les votes et avis des lecteurs ainsi que la biographie de l’auteur.
Sous un ciel écarlate est basé sur l’histoire véridique d’un héros oublié. Ce roman est une ode au courage et à la résilience.
Voici quelques mots concernant l’auteur. Mark Sullivan a grandi à Medfield, dans le Massachusetts, et a obtenu un baccalauréat en anglais au Hamilton College avant de travailler comme volontaire au sein du Peace Corps au Niger, en Afrique de l’Ouest.
À son retour aux États-Unis, il a obtenu un diplôme de troisième cycle à la Medill School of Journalism de la Northwestern University. Il a alors entamé une carrière dans le journalisme d’investigation. Passionné de ski et aventurier, il vit avec sa femme à Bozeman, dans le Montana, où il reste reconnaissant du miracle de chaque instant.
Si vous aimez la littérature américaine de qualité et bien traduite, alors on vous invite à découvrir le résumé et l’extrait de ce roman.
Sous un ciel écarlate, le résumé :
En 1943, Pino Lella est un jeune Italien comme les autres : il aime la musique, les filles, et ne veut pas entendre parler de la guerre ni des nazis. Mais le temps de l’innocence prend fin lorsque l’appartement familial est détruit par un raid des Alliés sur Milan. Pino entre alors dans la clandestinité en rejoignant un réseau qui aide les Juifs à passer en Suisse. Il y rencontre Anna, jolie veuve de six ans son aînée, dont il tombe follement amoureux.
Mais les parents de Pino l’obligent bientôt à s’enrôler dans l’armée allemande, pensant le mettre ainsi à l’abri. Blessé, il devient à dix-huit ans le chauffeur du bras droit d’Hitler en Italie puis, rapidement, espion pour les Alliés. Dès lors, Pino ne cesse de se révolter face aux horreurs de la guerre et de courir tous les dangers pour l’amour d’Anna.
Sous un ciel écarlate, l’extrait :
J’ai écouté cet homme revenir sur deux années de son existence extraordinaire ; adulte à dix sept ans, vieillard à dix-huit, il avait connu des vicissitudes, des épreuves, des succès, l’amour et des peines de cœur. Mes problèmes personnels, ma vie en général, m’apparaissaient bien dérisoires en comparaison de ce qu’il avait enduré si jeune.
Son intimité avec le tragique m’ouvrait de nouvelles perspectives. J’allais mieux et, très vite, Pino et moi sommes devenus de grands amis. De retour chez moi, je ne m’étais jamais senti aussi bien depuis des années.
Ce voyage a été suivi de quatre autres en dix ans, et m’a permis d’approfondir mes recherches sur Pino en même temps que j’écrivais d’autres livres. Je me suis adressé à Yad Vashem, l’Institut international pour la mémoire et l’enseignement de la Shoah ; à des historiens en Italie, en Allemagne et aux États-Unis. Je me suis plongé pendant des semaines dans les archives militaires de ces trois pays, ainsi que dans celles du Royaume-Uni.
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