Perfect Boss par Gwen Delmas. Voici le résumé du roman, les votes et avis des lecteurs ainsi que l’accès direct au livre numérique.
Gwen Delmas est une auteure française de romance.
Elle a écrit son premier roman en 2017, il s’agit de Noël, toi & moi qui fut immédiatement un succès.
Voici son nouveau roman, Perfect Boss avec Tom qui est sexy, irrésistible, attachant… mais qui est également son boss !
L’histoire:
Carla est une ancienne championne olympique devenue journaliste sportive. Quand la chaîne de TV où elle est chroniqueuse est rachetée, elle se retrouve à devoir obéir aux ordres de Tom Andres, le golden boy des médias. Sourire impeccable, corps sculptural et sexiness irrésistible, Tom a tout pour plaire, et Carla doit bien s’avouer que son boss ne lui est pas indifférent. Se laissera-t-elle séduire ou au contraire fera-t-elle tout pour résister aux charmes de Tom ? Et lui, est-il vraiment sincère ou a-t-il un objectif moins innocent derrière la tête ?
L’extrait:
Aujourd’hui est un grand jour : les nouveaux boss vont lancer la nouvelle saison, avec la nouvelle grille, les nouveaux chroniqueurs… Il faut que je sois au top ! Je tire sur ma jupe de tailleur qui a la fâcheuse tendance à remonter… et je me cogne à un mur de muscles. Sous le choc, je chancelle et j’aurais probablement fini par faire connaissance avec le sol si une poigne d’acier ne m’avait pas retenue. En deux secondes, je me retrouve plaquée contre Monsieur Muscles, les mains posées sur des pectoraux solides et le nez empli d’un parfum enveloppant et épicé.
– Oh ça va, mademoiselle ? me demande une voix grave, LA voix grave à faire vibrer toute ma colonne vertébrale.
Je bafouille des excuses, avant de réaliser que j’ai toujours les mains sur mon visiteur. Pire, mes doigts tâtent les muscles sous l’étoffe. Cramoisie, je relâche ma proie et recule de deux pas. Si ce type ne me prend pas pour une nymphomane ou une pauvre fille perdue en manque de testostérone, j’aurai de la chance.
Je lève les yeux vers lui. L’homme est plus grand que moi, sans doute pas loin d’un mètre quatre-vingt-dix. Ses lèvres s’ouvrent sur un sourire délicieux. Et ses yeux ! Des yeux d’un vert sombre et hypnotique.
Je sais qui je viens de rencontrer.
Tom Andres. Le golden boy des médias, aussi connu pour sa capacité à fédérer une équipe ou même à tenir l’antenne que pour sa vie sentimentale débordante. Mon nouveau patron.
– Ça va ? Rien de cassé ?
– Il s’en est fallu de peu, je riposte. Votre costume, il a un revêtement en Kevlar ?
Ma remarque fait rire mon nouveau patron. Il me tend une large main dans laquelle la mienne semble presque petite.
– Tom. Andres.
– Je sais. Carla. Dubie.
– L’épéiste, énonce-t-il en me dévisageant franchement. J’ai suivi les JO avec grand intérêt. Cette défaite en finale, à en pleurer de rage.
Je serre la mâchoire. Inutile de lui avouer que je les ai versées, ces larmes de rage. Pendant des heures, des jours, après avoir été incapable de mettre cette dernière touche et permis à mon adversaire d’en remonter trois dans la dernière minute pour l’emporter. Et d’une phrase, il vient de rouvrir cette plaie encore à vif, trois ans après. Visiblement, Tom s’est rendu compte de sa maladresse, car il reprend d’une voix chaude, assortie d’un sourire chaleureux.
– J’ai décidément la délicatesse d’un taureau, pardonnez-moi ! Depuis, j’ai aussi suivi avec intérêt votre travail de journaliste. Je suis ravi de travailler avec vous.