Nos différences par Laurie Pyren. Voici un extrait de l’histoire, son résumé, les avis des lecteurs ainsi que quelques mots sur l’auteure.
Laurie Pyren est une auteure américaine qui vit en Californie, dans, à ce que l’on dit, un manoir qui aurait 63 salles de bain. Elle y vit avec son milliardaire de mari ainsi que ses trois enfants et ses lévriers.
En fait, pas du tout, elle aime bien raconter des histoires et plaisanter à son sujet. En fait, c’est une fille normale aime le chocolat et écrire tranquillement dans son jardin ou son salon.
Nos différences, saison 1:
Contre toute attente
Sarah Miland et Henry Walsh sont différents :
lui, sexy et milliardaire a l’habitude que les femmes soient attirées et dans ses bras, mais il ne s’engage pas. Son passé l’empêche parfois d’avancer.
Elle, femme indépendante et déterminée rejette les hommes riche et sexy qui lui rappelle une histoire douloureuse encore très présente.
Sarah
J’aime les couleurs vives; il aime le noir.
J’ai des kilos en trop; il ressemble à un top model.
Je dis tout le temps ce que je pense (c’est plus fort que moi); impossible de savoir ce que lui pense.
Je suis son assistante (du moins temporairement); il est mon boss.
Tomber amoureuse de lui ? Moi vivante, jamais! Les beaux types sexy, j’ai donné et merci bien, mais je n’en veux plus.
Et puis, nous sommes tellement différents…
Henry
« Never fuck with the payroll’. Ma devise. Même si j’attire les femmes comme des mouches, je n’ai jamais failli à ce principe. Et voilà que Sarah Miland débarque dans ma vie avec ses chaussettes débiles et son franc parler.
Coucher avec son assistante ? Mauvaise idée. Très mauvaise, même. Et pourtant, je ne peux pas m’empêcher d’y penser tout le temps…
Mais nous sommes si différents que cela nous mènerait à la catastrophe…
Ils n’appartiennent pas au même monde; ils sont aux antipodes l’un de l’autre.
Et pourtant… Derrière les différences peuvent parfois se cacher les ressemblances.
Extrait:
Hier, le Teckel s’est pointé dans mon bureau et s’est campé devant moi, bras croisés sur le torse…
Histoire de mettre la pression pour que je termine plus vite ma conversation avec un client. J’ai raccroché et il est resté debout, parce que s’il s’assoit, je le dépasse d’une demi-tête et il perdrait son pouvoir.
Michelle est malade et sera absente aujourdllui et demain, m’a-t-il annoncé froidement, son petit air
suffisant sur le visage.
Je sais, ai-je répondu calmement.
Elle devait venir avec moi à une reunion demain soir à dix-neuf heures. C’est vous qui viendrez. Réunion
dans mon bureau dans une heure pour parler du dossier.
Volte-face et le voilà s’éloignant sur ses jambes maigrelettes alors que mon cerveau est toujours en train de carburer pour formuler une répartie négative.