Mon cœur a déménagé de Michel Bussi. Découvrez la présentation du roman, son résumé, une biographie de l’auteur ainsi que l’accès direct au livre.
Mon cœur a déménagé, Michel Bussi explore dans ce roman, les environs de la ville où il a enseigné à l’université. Il nous transmet avec beaucoup de talent toute l’atmosphère que l’on peut ressentir dans un tel environnement. Ce titre énigmatique déroute du début à la fin de la lecture, mais ce maître du cliffhanger ne laisse rien au hasard. Il orchestre ses effets avec précision…
Michel Bussi, biographie :
Michel Bussi est un écrivain français né le 29 avril 1965 à Louviers en Normandie. Avant de se consacrer entièrement à l’écriture, Bussi a mené une carrière universitaire en tant que professeur de géographie à l’Université de Rouen. Sa spécialisation académique a eu une influence notable dans ses romans, où les lieux et les paysages jouent souvent un rôle central.
Il a publié son premier roman, « Code Lupin », en 2006, mais c’est avec son livre « Un avion sans elle », paru en 2012, qu’il a véritablement connu le succès. Ce roman a remporté plusieurs prix littéraires et a été adapté à la télévision en série.
Michel Bussi est connu pour ses intrigues complexes, ses rebondissements inattendus et son talent pour créer des atmosphères captivantes. Ses œuvres se situent souvent dans des décors pittoresques de la Normandie ou d’autres régions françaises, où il tisse des histoires mêlant suspense, mystère et émotion.
Au fil des ans, Bussi a écrit de nombreux romans à succès tels que « Nymphéas noirs », « Maman a tort », « Le temps est assassin » et bien d’autres. Ses livres ont été traduits dans plusieurs langues et ont conquis un large public à l’échelle internationale. Avec son style narratif captivant, Michel Bussi est devenu l’un des auteurs les plus appréciés du thriller français contemporain.
Mon cœur a déménagé, le résumé :
Ophélie réside avec ses parents dans la périphérie de Rouen, une existence marquée par la précarité, placée sous la surveillance des services sociaux. Ses parents défaillants – une mère fragilisée et un père mêlant alcool et drogue – ne dessinent rien d’encourageant pour une jeune préadolescente, mais plutôt un sombre présage de la condition humaine, une découverte trop rapide, trop précoce.
Lors d’une soirée où son père rentre chez lui, il exige de l’argent à sa femme qui refuse. S’ensuit colère, violence et menaces. Alarmée, Ophélie alerte l’assistant social en charge de sa famille, lui rapportant le danger dans lequel se trouve sa mère. Cette dernière, elle-même consciente de la menace, prend la fuite : son corps sera découvert sur une passerelle, poursuivi par son mari.
Aucun souvenir n’émerge chez ce dernier, mais il sera condamné, laissant Ophélie seule : à son jeune âge, elle est placée immédiatement dans un foyer, animée par un désir de vengeance viscéral. Richard Vidame, l’assistant social, n’ayant rien fait pour sauver sa mère, devient la cible principale de la colère de la jeune fille. Accompagnée par Nina, rencontrée au foyer, l’adolescente s’investit corps et âme dans sa quête pour traquer et confondre cet homme, qu’elle considère comme le seul responsable.
