Lumière noire par Lisa Gardner, extrait et avis

Partager, merci !

Lumière noire par Lisa Gardner. Voici un extrait et le résumé de l’histoire, les avis des lecteurs ainsi que quelques mots sur l’auteure.

Lumière noire est un roman à ne manquer sous aucun prétexte, ce sont les propres mots d’Harlan Coben. Mais pour commencer, découvrons qui est Lisa Gardner ?

Lisa Gardner a grandi à Hillsboro dans l’Oregon. Elle a obtenu un diplôme en relations internationales à l’Université de Pennsylvanie en 1993. Elle a déjà écrit deux séries: D.D. Warren et FBI Profiler ainsi que de nombreux romans. Il lui arrive également de publier ses romans sous le pseudonyme d’Alicia Scott.

En 2011, elle a reçu le Grand prix des lectrices du magazine Elle dans la catégorie « policier » pour son roman La Maison d’à côté et plusieurs de ses romans ont fait l’objet d’une adaptation au cinéma ou à la télévision.

Après le succès du Saut de l’ange, Lisa Gardner, l’un des grands noms du thriller psychologique, se met dans la peau d’une femme pourchassée par son passé, dans une enquête qui nous confronte aux plus insoupçonnables déviances humaines.

Lumière noire, le résumé :

472 jours : c’est le temps qu’a passé Flora aux mains de son bourreau. 472 jours plongée dans un abîme de ténèbres, à n’espérer qu’une chose : survivre.

Sortie miraculeusement de cette épreuve, elle cherche depuis à retrouver une existence normale. Pourtant, les murs de sa chambre sont tapissés de photos de filles disparues.

Quand, à la recherche de l’une d’elles, Flora se fait de nouveau kidnapper, le commandant D.D. Warren comprend qu’un prédateur court les rues de Boston, qui s’assurera cette fois que Flora ne revoie jamais la lumière..

L’extrait :

Voici ce que j’ignorais :

Quand on se réveille pour la première fois enfermée dans une caisse, dans le noir complet, on se dit que ce n’est pas possible. On essaie de repousser le couvercle, bien sûr. Normal. On frappe les côtés avec ses poings, on martèle le fond avec ses talons. On donne des coups de tête, encore et encore, même si ça fait mal. Et on hurle. On hurle, on hurle, on hurle, indéfiniment. Nez qui coule. Torrents de larmes. Jusqu’à ce que les cris s’enrouent, se réduisent à des hoquets.

Alors on entend des bruits étranges, tristes, pitoyables, et c’est au moment où l’on réalise que ces bruits viennent de soi qu’on comprend la situation, qu’on comprend vraiment ce qui se passe : hé, je suis enfermée dans une caisse.

Accès direct au livre

numérique

broché

Ce livre a obtenu grâce au nombre de votes et à la qualité des commentaires : La Médaille d’Or des Lecteurs.


Partager, merci !
HTML Snippets Powered By : XYZScripts.com

Pas de copie sur cette page.

Nous utilisons des cookies afin de vous offrir la meilleure expérience possible sur notre site. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez notre utilisation de cookies.
J'accepte