Love Is In The Air de Maddie D.. Voici le résumé et l’extrait de l’histoire, les votes et avis des lecteurs ainsi que l’accès direct au livre.
Love Is In The Air, découvrez son résumé, extrait ainsi que les votes et avis des lecteurs. Mais auparavant, voici quelques mots sur son auteure.
Auteure, lectrice compulsive , maman et dévoreuse de guimauve, Maddie D. jongle avec ses nombreuses casquettes. Elle est l’auteure de romans allant de la comédie romantique à la romance contemporaine.
Un peu insomniaque, un tantinet excentrique, et très généreuse, Maddie D. vit au bord de l’océan avec son mari et leurs trois enfants.
Love Is In The Air, le résumé :
J’ai vingt-quatre ans et j’ai tout pour être heureuse.
À la maison, je veille sur ma sœur, Piper – une intello – et sur notre frère Parker, star de son lycée. J’ai des amies un peu particulières et légèrement intrusives, mais en or tout de même. Un exemple ? Eh bien, comme côté sentimental, c’est le calme plat, elles n’ont pas trouvé mieux que de m’offrir un copain à piles. Il a même un petit nom : Odin. Avec ça, croyez-moi, je vais voler dans les étoiles !
Côté pro, je marche sur l’eau. Mon patron, Aaron Tanaka, est un amour qui vient de me donner une promotion. Je suis désormais son bras droit. Moi, Prudence McCall, je suis numéro 2 de TDS, le top du top de la sécurité informatique ! Ça claque, non ?
Enfin ça, c’est ce que je me disais encore hier…
Du jour au lendemain, je fais la une des journaux. La photo n’est pas flatteuse : on y voit Aaron, plonger le nez dans mon décolleté. Mais il faut lire les petits caractères pour comprendre qu’il a été terrassé par un infarctus, en pleine soirée caritative, devant des centaines de personnes – et de paparazzis avides de scoops.
Et comme un malheur n’arrive jamais seul, mon nouveau patron, le fils d’Aaron, dont j’ignorais l’existence, me déteste.
Si la situation n’était pas si tragique, je pourrais en rire…
Ah oui, j’ai oublié de vous dire : mon nouveau boss s’appelle Odin.
Love Is In The Air, l’extrait :
Mon boss hocha la tête, se leva et fit le tour de son imposant bureau pour venir me rejoindre. Je l’observai tandis qu’il venait vers moi, la démarche assurée et dynamique. Pour la millième fois au moins, depuis le début de notre collaboration, je me pris à penser qu’il ne faisait absolument pas ses soixante ans.
À part quelques cheveux gris sur les tempes, son visage avenant ne portait pas les marques du temps. II était sans âge — certainement une conséquence de son métissage sino-américain. Parfois, il m’arrivait de lui envier son capital génétique. Aaron était de ces hommes sur lesquels les gens se retournaient, peu importait leur sexe et leur âge.
Il se dégageait de lui une aura et un charme indéniables. Sans rire, cet homme s’entretenait et il semblait avoir tout au plus quarante-cinq ans ! Et puis, d’après ce que j’avais pu lire ici et là dans les magazines people, il avait la pêche et il aimait que ses conquêtes soient relativement jeunes et/ou aient l’air tout droit sortis d’un défilé Victoria Secrets. Je réprimai une grimace.