L’Énigme de la Chambre 622 par Joël Dicker. Voici le résumé et l’extrait de l’histoire, les votes et avis des lecteurs ainsi que l’accès direct au livre.
L’Énigme de la Chambre 622. Avec la précision d’un maître horloger suisse, Joël Dicker nous emmène enfin au cœur de sa ville natale au fil de ce roman diabolique et époustouflant, sur fond de triangle amoureux, jeux de pouvoir, coups bas, trahisons et jalousies, dans une Suisse pas si tranquille que ça.
L’Énigme de la Chambre 622, la bande annonce :
Joël Dicker est né à Genève en 1985. Son premier roman, Les Derniers Jours de nos pères, a reçu les Prix des écrivains genevois en 2010. Il a publié en 2012 La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert, qui a obtenu successivement le Prix de la Vocation Bleustein-Blanchet, le Grand Prix du Roman de l’Académie française et le 25e Prix Goncourt des Lycéens.
L’Énigme de la Chambre 622, le résumé :
Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L’enquête de police n’aboutira jamais.
Des années plus tard, au début de l’été 2018, lorsqu’un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver plongé dans cette affaire.
Que s’est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier?
L’Énigme de la Chambre 622, l’extrait :
Au début de l’été 2018, lorsque je me rendis au Palace de Verbier, un hôtel prestigieux des Alpes suisses, j’étais loin d’imaginer que j’allais consacrer mes vacances à élucider un crime commis dans l’établissement bien des années auparavant.
Ce séjour était censé m’offrir une pause bienvenue après deux petits cataclysmes personnels survenus dans ma vie. Mais avant de vous raconter ce qui se passa cet été-là, il me faut d’abord revenir sur ce qui fut à l’origine de toute cette histoire : la mort de mon éditeur, Bernard de Fallois.
Bernard de Fallois était l’homme à qui je devais tout.
Mon succès et ma notoriété, c’était grâce à lui.
On m’appelait l’écrivain, grâce à lui.
On me lisait, grâce à lui.
Lorsque je l’avais rencontré, j’étais un auteur même pas publié : il avait fait de moi un écrivain lu dans le monde entier. Bernard, sous ses airs d’élégant patriarche, avait été l’une des personnalités majeures de l’édition française. Pour moi, il avait été un maître et surtout, malgré les soixante ans qui nous séparaient, un grand ami.
Accès direct au livre :