Le silence des mots par Ange Edmon : VERSION INTÉGRALE. Résumé, extrait, votes, avis ainsi que l’accès direct au livre.
Le silence des mots, retrouvez l’intégralité de la saga à succès de Ange Edmon.
Quelques mots sur Ange Edmon :
Ange a des rimes plein la tête dés 10 ans, qu’elle aligne très égoïstement à travers des messages qui lui sont chers.
Elle vit à la 27éme heure, un jour de la semaine inexistant et dans un monde n’appartenant qu’à elle. Dans la lune le plus souvent, elle y écrit des histoires où elle devient un peu tous ses personnages.
Découvrez l’intégrale de cette histoire que l’on peut classée dans la rubrique littérature sentimentale avec son résumé et extrait.
Le silence des mots, le résumé :
Laïana, jeune pédopsychiatre surdouée, intègre l’institut « Words for Ills » où elle compte bien mettre en application ses méthodes peu conventionnelles.
Elle se heurte immédiatement à Nils, juge pour enfants mais également businessman. Glacial, arrogant mais définitivement sexy.
Il a fait de cet institut un refuge pour ses petits protégés.
Leur point commun ? Le bien-être des enfants.
Leurs différences ? Tout le reste.
La guerre est déclarée, les stratégies se mettent en place, mais qui arrivera à conquérir l’autre ?
Entre une jeune femme en quête de stabilité et un séducteur désabusé, jalousies et affrontements rythment ce duel explosif.
Le silence des mots, l’extrait :
Je m’appelle Laiana Wang. Je suis née Augusta dans le Maine. J’ai vingt-huit ans depuis deux jours. Je l’ai fêté, un peu trop d’ailleurs, avec mon quatuor, mes meilleurs amis depuis plus de six ans maintenant. Je suis psychiatre.
Oui je sais ce que vous allez dire : je suis jeune. Je suis rentrée Columbia l’âge de quinze ans. Mes facilités dans les études et du travail m’ont ouvert des tas de portes. J’ai donc obtenu une belle bourse et j’ai quitté ma région natale. Et ma famille. Je n’ai aucun regret.
J’ai trouvé une chambre louer, un prix dérisoire, contre quelques menus travaux chez un couple quadragénaire dans Manhattan, qui m’a choyée, dorlotée et veillée.
J’y vis toujours d’ailleurs et c’est maintenant moi qui veille sur eux. Mamoune et Papou, comme je les surnomme, ont été ma bénédiction dans mon adolescence chaotique.