Le Pacte des tueurs par Barry Eisler. Voici le résumé et l’extrait de l’histoire, les votes et avis des lecteurs ainsi que l’accès direct au livre.
Le Pacte des tueurs, le nouveau roman de Barry Eisler. Plusieurs fois récompensés et traduits dans presque vingt langues, les polars de Barry Eisler figurent sur de nombreuses listes de meilleures ventes.
Barry Eisler, quelques mots sur l’auteur :
Après avoir travaillé trois ans au sein de la CIA, Barry Eisler a exercé le métier d’avocat spécialisé dans les nouvelles technologies, puis de responsable de start-up dans la Silicon Valley et au Japon, où il a obtenu sa ceinture noire au Kodokan Judo Institute.
Eisler vit dans la Baie de San Francisco. Lorsqu’il n’est pas plongé dans l’écriture de romans, il tient un blog sur la torture, les droits civiques et l’état de droit.
Le Pacte des tueurs, le résumé :
Dans le cadre d’une enquête sur un réseau de pédopornographie international, la détective Livia Lone est visée par un complot qui vire au fiasco. Soupçonnant le FBI d’être derrière l’attaque, Livia fait appel à l’ancien sniper des Marines, Dox. Ensemble, ils mettent sur pied un groupe spécial, dont fait partie John Rain, expert en « morts naturelles » à la retraite, pour identifier et neutraliser la menace qui pèse sur eux. La bande compte également Delilah, agent du Mossad et spécialiste des « pièges à miel », ainsi que les soldats des opérations secrètes Ben Treven, Daniel Larison et leur ancien commandant, le colonel Scot « Hort » Horton.
De Tokyo à Seattle, de Washington à Paris, le groupe devra déjouer une série de conspirations étroitement liées, chacune se rapprochant un peu plus des hautes sphères du gouvernement américain.
Entre loyautés incertaines, motivations douteuses et enchevêtrements amoureux, les sept agents auront du mal à travailler en équipe. Mais dans un contexte aussi tumultueux, mieux vaut s’en remettre à un clan de tueurs.
L’extrait :
Je vivais Kamakura, enfin débarrassé de Tokyo. Avec le pactole qui m’était tombé dessus de façon assez inattendue sous forme de diamants bruts, rétribution pour mon boulot avec Larison et le détachement, j’avais fait l’acquisition d’un terrain perché au sommet d’une colline, avec vue sur la baie de Sagami, obtenu après moult négociations éprouvantes et une bonne quantité d’argent blanchi.
Grâce d’autres intermédiaires et au prix d’une nouvelle injection de cash, j’avais engagé un certain Takishita, expert dans sa partie, qui m’avait dégoté une minka, autrement dit une ferme traditionnelle japonaise, laissée l’abandon dans le pays de neige, surnommé parfois les Alpes japonaises.
Takishita avait acheté la bâtisse tricentenaire en mon nom, l’avait démontée puis transportée sur mon terrain à Kamakura…
Accès direct au livre :