Le crime est une oeuvre par Nora Roberts. Voici le résumé et l’extrait de l’histoire, les votes et avis des lecteurs ainsi que l’accès direct au livre.
Le crime est une oeuvre, un roman signé Nora Roberts, le tome 46 de la série Lieutenant Eve Dallas.
Nora Roberts (née Eleanor Marie Robertson le 10 octobre 1950 à Silver Spring, Maryland, États-Unis) est une romancière américaine spécialisée dans les romans d’amour et le thriller psychologique.
Elle a travaillé quelque temps comme secrétaire juridique puis s’est occupée de ses deux fils. Bloquée par une tempête de neige en 1979, elle commence à écrire pour passer le temps et, deux ans plus tard, publie son premier roman, L’Invitée irlandaise.
En 1985, elle se remarie, ouvre une librairie et sillonne le monde avec son nouvel époux. Après le refus de son premier manuscrit par plusieurs éditeurs, Nora Roberts est devenue la figure incontestée de la littérature féminine, un genre qu’elle a contribué à renouveler en profondeur.
En une vingtaine d’années, elle s’est imposée comme un véritable phénomène éditorial dans le monde, avec plus de cent cinquante livres publiés et deux cent cinquante millions d’exemplaires vendus. Plusieurs de ses romans ont reçu des prix prestigieux.
Le crime est une oeuvre, le résumé :
Lors d’une projection du célèbre Psychose, une actrice est sauvagement assassinée dans la salle du cinéma. Chargé de l’enquête, le lieutenant Dallas découvre que le meurtrier s’est inspiré d’un roman policier.
L’auteure du best-seller vit à Brooklyn, et n’en est pas à son premier livre. Et, par un terrible effet de miroir, les meurtres, eux aussi, s’accumulent.
Un fou à lier semble avoir à cœur de reconstituer des crimes fictionnels… Son travail acharné ne révélerait-il pas sa haine pour l’auteure à succès et pour Eve en personne ?
Le crime est une oeuvre, l’extrait :
Le lieutenant Dallas se tenait au-dessus du corps. Des gens l’avaient tiré hors de la rangée de sièges dans une vaine tentative de premiers — ou, dans le cas présent, de derniers — secours. Résultat : ils avaient complètement fichu en l’air la scène de crime.
De même que la soirée d’Eve tranquille chez elle. Elle avait pourtant réussi à rentrer à l’heure, pour une fois, ravie de s’arracher aux griffes venteuses d’un février glacial pour profiter de la chaleur d’une maison débarrassée de Summerset, le majordome de Connors parti pour son congé hivernal.
Il se trouve qu’elle était même arrivée avant Connors et avait profité de la sensation aussi étrange que rare de disposer de l’immense demeure rien que pour elle. Elle et le chat…
Sur place, Eve envisagea d’abord de commencer par un peu de sport en faisant un footing de pièce en pièce. Les traverser toutes représenterait déjà une belle séance d’endurance.
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