La Voie du tarot par Alexandro Jodorowsky. Voici le résumé de l’ouvrage, les votes et avis des lecteurs ainsi que quelques mots concernant l’auteur.
Alexandro Jodorowsky est cinéaste, dramaturge, tarologue visionnaire. Personnalité inclassable, chilien d’origine russe, initié au zen au Mexique,
Célèbre scénariste aux Humanoïdes Associés, il a publié de nombreuses bandes dessinées cultes. Notamment L’incal avec Moebius et La caste des Méta-Barons avec Juan Giménez.
Alexandro Jodorowsky est un artiste multiforme. Aussi bien: cinéaste, acteur, dramaturge, auteur visionnaire… C’est également un psychothérapeute novateur. Il s’est engagé depuis une trentaine d’années dans la Voie du tarot.
Avec Marianne Costa, il a extrait la quintessence de ses innombrables conférences, leçons et lectures données aux quatre coins du monde. Le but, écrire cet ouvrage unique, qui explore l’architecture subtile du tarot, cette « cathédrale nomade ».
Voici un livre qui va plaire aux personnes qui apprécient les outils efficaces permettant un développement personnel structuré. En effet, comme pour l’hypnose, la PNL ou autres méthodes, on peut facilement suivre son évolution. Ceci grâce aux techniques précises qui sont proposées.
La Voie du tarot, résumé:
Jeu de cartes de vingt-deux arcanes majeurs et cinquante-six arcanes mineurs, le tarot voyage à travers les cultures et les siècles depuis le Moyen Âge. Même s’il est souvent employé comme art divinatoire, il est avant tout un fabuleux instrument de connaissance de soi et une représentation de la structure de l’âme.
En tirant les cartes, celui qui interroge le tarot est confronté à son état intérieur et guidé dans l’exploration de sa propre profondeur. Source inépuisable de symboles, La Voie du tarot est une invitation à l’aventure spirituelle et un outil d’interprétation du quotidien.
Extrait :
Si nous voulions imaginer l’origine du Tarot (déjà en 1337, dans les statuts de l’abbaye de Saint-Victor de Marseille, les jeux de cartes sont interdits aux religieux), il nous faudrait remonter au moins à l’an mil.
À cette époque, dans le Sud de la France et en Espagne, on pouvait voir dans une saine paix, érigées à proximité les unes des autres, une église, une synagogue et une mosquée. Les trois religions se
respectaient et les sages de chacune d’elles n’hésitaient pas à discuter et à s’enrichir au contact de membres des autres.
Il est évident que dans les Arcanes II, V, XIII, XV, XX, XXI, on trouve l’influence du christianisme. Dans la tête du squelette de l’Arcane sans nom, on peut distinguer les quatre lettres hébraïques, yod-hé-vav-hé. Elles désignent la divinité, et sur la poitrine du Pendu les dix séphirots de l’Arbre de Vie cabalistique. Dans les Arcanes mineurs apparaissent des symboles musulmans : par exemple, en haut de l’As de Coupe, un cercle avec neuf points représente de toute évidence l’ennéagone initiatique…
Accès direct au livre