La Fille du train de Paula Hawkins. Voici le résumé et l’extrait du roman, les avis des lecteurs ainsi que l’accès direct au livre.
La Fille du train, découvrez le résumé et l’extrait de ce best-seller. Mais auparavant, voici quelques mots concernant l’auteure.
Paula Hawkins est née au Zimbabwe et y a grandi. C’est en 1989 qu’elle a déménagé à Londres, où elle a travaillé pendant une quinzaine d’années comme journaliste. La Fille du train, qui est son premier roman, remporte un tel succès qu’il est déjà traduit en 26 langues. Les droits d’adaptation pour le cinéma ont été achetés par Steven Spielberg.
Parfois on se pose cette question, que lire ? Ce livre est un incontournable qui peut même être lu plusieurs fois.
La Fille du train, le résumé :
Rachel, qui habite en banlieue, prend le train deux fois par jour pour aller et revenir de Londres. Chaque jour, elle est assise à la même place et chaque jour elle observe une jolie maison.
Cette maison, elle la connaît par cœur. Elle a même donné un nom à ses occupants, qu’elle aperçoit derrière la vitre : Jason et Jess. Un couple qu’elle imagine parfait, heureux. Comme Rachel a pu l’être par le passé avec son mari, avant qu’il ne la trompe, avant qu’il ne la quitte. Mais un matin, elle découvre un autre homme que Jason à la fenêtre.
Que se passe-t-il ? Jess tromperait-elle son mari ? Quelques jours plus tard, c’est avec stupeur qu’elle découvre la photo de Jess à la une des journaux. La jeune femme, de son vrai nom Megan Hipwell, a mystérieusement disparu…
La Fille du train, l’extrait :
Le train que je prends le soir, celui de 17 h 56, est un peu plus lent que celui du matin. Le trajet prend une heure et une minute, sept minutes de plus que celui du matin alors qu’il ne marque aucun arrêt supplémentaire. Ça m’est égal parce que, si je ne suis pas franchement pressée d’arriver à Londres le matin, je ne suis pas plus pressée de rentrer à Ashbuuy le soir. Et ce n’est pas simplement parce que c’est Ashbuzy, même si ça peut suffire, en soi — c’est une ville nouvelle des années soixante qui s’est étalée comme un cancer au cœur du Buckinghamshire.
Elle n’est ni mieux ni pire qu’une dizaine d’autres villes similaires : un centre-ville bourré de cafés, de boutiques de téléphones portables et de magasins d’articles de sport, quelques quartiers d’habitations périphériques et, au-delà, le royaume des complexes de cinémas et des hypermarchés gigantesques.
J’habite dans un quartier élégant (si on veut), récent (si on veut), situé à la jonction entre le centre et la banlieue résidentielle, mais ce n’est pas chez moi.
Chez moi, c’est la maison victorienne mitoyenne près de la voie ferrée, celle dont j’étais copropriétaire. Ashbury, je ne suis pas propriétaire, je ne suis même pas locataire. Je suis hébergée dans la seconde petite chambre du duplex insipide de Cathy, assujettie à sa bonne grâce. Cathy et moi étions amies à l’université.
Enfin, plus ou moins car, en réalité, nous n’avons jamais été très proches. Elle vivait dans la chambre en face de la mienne en première année. Et nous avions les mêmes cours, nous sommes donc naturellement devenues alliées pour affronter l’épreuve de ces premières semaines de fac. Avant de rencontrer des gens avec qui nous avions plus en commun. Nous ne nous sommes presque plus vues après la première année. Et plus du tout une fois nos études terminées, sauf pour un mariage de temps à autre.
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