La cité perdue du dieu singe de Douglas Preston. Découvrez le résumé du roman ainsi que les votes et avis des lecteurs. Accès également direct au livre numérique ou broché.
Douglas Preston est américain, né le 26 mai 1956 à Cambridge dans le Massachusetts. Il a commencé à écrire dans le cadre l’American Museum of Natural History de New York où il a travaillé entre 1978 et 1985. Il y a occupé diverses fonctions, dont celles d’éditeur ainsi que de directeur de publication pour le catalogue des expositions du musée.
C’est en 1986 qu’il se consacre à l’écriture à plein temps depuis le Nouveau-Mexique. Depuis, il est l’auteur de plusieurs romans que l’on peut classer essentiellement dans deux genres : l’horreur et le techno-thriller, qu’il a écrits seul ou en collaboration avec Lincoln Child.
« Douglas Preston a écrit, au péril de sa vie, un récit d’aventures puissant et terrifiant. » David Grann, auteur de La Cité perdue de Z.
Son livre n’est pas une fiction, il s’agit d’un récit vécu, d’une exploration qui se lit comme un roman.
La cité perdue du dieu singe, le résumé:
Un voyage au coeur d’une des régions les plus sauvages de la planète sur les traces d’une cité mythique et d’une civilisation disparue.
Bienvenue dans l’impénétrable jungle de la Mosquitia, dans le nord-est du Honduras. C’est là que s’est aventuré le romancier et journaliste Douglas Preston aux côtés d’une équipe de scientifiques pour lever le voile sur l’un des derniers mystères de notre temps : la fameuse Cité blanche, ou Cité du dieu singe, qu’évoquait Hernán Cortès au XVIè siècle et que personne à ce jour n’avait réussi à localiser.
Ancienne malédiction, jaguars et serpents mortels, parasites mangeurs de chair et maladie incurable, controverse scientifique… Ce récit digne des aventures d’Indiana Jones et riche d’enseignements sur la plus importante découverte archéologique de ce début de XXIè siècle remet en perspective ce que l’on croyait savoir des civilisations préhispaniques, à l’heure où la mondialisation et le réchauffement climatique menacent de condamner notre monde au sort tragique de cette cité mystérieusement disparue.
