L’Illusion de la Réalité, On se fait tous rouler ! par David Icke. Voici le résumé du livre, les votes et avis des lecteurs ainsi que la biographie de l’auteur.
David Icke né le 29 avril 1952 à Leicester est un joueur de football professionnel, journaliste sportif à la BBC et ancien membre du parti vert britannique. David s’intéresse de près aux « individus qui contrôlent vraiment le monde » et aux enjeux de la conspiration.
Il a travaillé pour la BBC et d’autres journaux prestigieux, mais son opinion constitue aujourd’hui l’un des contrepoids majeurs à l’information officielle. Il compte des millions de lecteurs dans le monde entier.
On peut dire qu’il est l’auteur le plus controversé au monde. Il a passé le dernier quart de siècle à démêler les secrets de l’Univers, de la réalité et des forces qui manipulent notre monde.
L’illusion de la réalité, le résumé:
Le discours que l’on rejetait et dont on se moquait autrefois, trouve aujourd’hui une écoute de plus en plus grande et David Icke, si longtemps considéré comme un amuseur public, est à présent reconnu comme étant un homme en avance sur son temps.
Cet énorme ouvrage contient plus de 800 visuels et illustrations. David Icke nous délivre ici, avec force détails, une vie consacrée à rechercher les preuves que notre réalité n’est autre qu’une simulation par ordinateur, que l’Univers n’est qu’un hologramme et que des forces cachées dirigent notre monde et manipulent les hommes avec l’aide de réseaux de lignées afin que, tel le monde d’Orwell, tout soit totalement sous contrôle.
Icke expose des thématiques étroitement liées. Les événements et les personnes qu’il cite vont permettre à l’humanité de prendre conscience de ce qu’il se passe, de faire cesser le tragique cauchemar dans lequel nous nous débattons et de retrouver la véritable nature de notre monde : un endroit duquel l’amour, l’harmonie, la paix et la Conscience infinie n’auraient jamais dû disparaître.
Comme le dit si bien David Icke : « Je comprends, à présent, que toute ma vie n’a été qu’un long chemin menant à ce livre. »
À l’intérieur, 32 pages reprenant les oeuvres originales de Neil Hague.
Extrait:
Je suis né à Leicester, en Angleterre, le 29 avril 1952. À l’école, je revassais et je n’ai obtenu aucun
diplôme au cours de ma scolarité.
À l’âge de 15 ans, j’ai tout laissé tomber pour embrasser une
carrière de joueur de football professionnel. J’ai joué, tout au long de ma carrière de sportif, avec ce
que l’on m’a diagnostiqué plus tard comme étant une polyarthrite rhumatoïde et ma dernière saison
en tant que joueur, qui s’est littéralement arrêtée du jour au lendemain, n’a été que souffrance au
quotidien. Je venais de fêter mes 21 ans. Un matin, à moitié endormi, je me suis rendu compte que je
ne pouvais plus respirer. J’ai tenté de réveiller ma femme, Linda, mais j’étais dans l’impossibilité de
bouger.
Mon corps était comme congelé et j’ai vraiment cru que j’allais mourir. J’ai quand même
réussi à faire rentrer de l’air dans mes poumons et là, j’ai ressenti une douleur atroce dans toutes mes
articulations.
La veille j’étais footballer professionnel, le lendemain je ne pouvais plus du tout jouer.
On m’a dit que j’allais sûrement finir dans un fauteuil roulant étant donné la précocité de la maladie
dans mon cas, mais je n’en possédais pas, fort heureusement. Suite à une série de drôles de
synchronicités ou de « coïncidences » dont je parle dans mes livres précédents, je suis devenu
journaliste de presse écrite, de radio, puis présentateur sportif pour la BBC et également porte-parole
national du parti des verts de Grande-Bretagne (figure 1). Jusqu’à l’âge de 38 ans j’avais mené une vie
assez mouvementée, mais rien en comparaison de ce qui allait suivre.
Au début de l’année 1989, j’ai commencé à ressentir près de moi ce que l’on peut appeler une « présence ». Quand j’étais seul dans une pièce, j’avais l’impression que quelqu’un d’autre y était aussi. Cette impression n’a fait que croître et une nuit de 1990, alors que j’étais à Londres dans une chambre d’hôtel, cette présence s’est faite si insistante que j’ai fini par dire tout haut : « Si vous êtes là, merci de rentrer en contact avec moi parce que ça commence à me rendre dingue ! »…
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