L’Étoile du désert de Michael Connelly. Découvrez le résumé, un extrait ainsi que l’accès direct au livre numérique ou broché.
L’Étoile du désert, il s’agit du tome 24 de la série Harry Bosch. Chaque tome peut être lu de manière indépendante.
Avant de vous présenter son nouveau thriller, voici quelques mots sur l’auteur.
Michael Connelly, quelques mots sur l’auteur :
Né en 1956, Michael Connelly commence sa carrière comme journaliste en Floride, ses articles sur les survivants d’un crash d’avion en 1986 lui valant d’être sélectionné pour le prix Pulitzer. Il travaille au Los Angeles Times quand il décide de se lancer dans l’écriture avec Les Égouts de Los Angeles, pour lequel il reçoit l’Edgar du premier roman. Il y campe le célèbre personnage du policier Harry Bosch, que l’on retrouvera notamment dans Volte-Face et Ceux qui tombent. Auteur du Poète, il est considéré comme l’un des maîtres du roman policier américain.
Voici une nouvelle aventure de Bosch et Ballard. Ils se retrouvent toujours afin que la justice soit faite.
L’Étoile du désert, le résumé :
Après avoir quitté le LAPD rongé par la misogynie, le défaitisme et la bureaucratie, Renée Ballard revient prendre la direction de l’unité des Affaires non résolues récemment reformée. Elle y recrute des stars de la police et demande à Harry Bosch, maintenant à la retraite, de l’aider à résoudre l’affaire de deux jeunes femmes tuées de la même façon à dix ans d’intervalle.
Bosch ne saurait refuser : avec toutes les ressources du LAPD, peut-être pourra-t-il en profiter pour arrêter le psychopathe qui a abattu toute une famille dans le désert de Mojave et n’a jamais été retrouvé.
S’il respecte Ballard, Bosch supporte mal son autorité et cela risque de nuire à leur travail. Et les tueurs, eux, n’entendent pas se laisser prendre après toutes ces années d’impunité.
D’autant que pour Ballard, et surtout pour Bosch, le temps presse…
Extrait :
Ses pilules alignées sur la table, Bosch était prêt. Il versait déjà de l’eau dans son verre quand on sonna à la porte. Il ne bougea pas de sa chaise et songea à ne pas répondre. Sa fille avait une clé et ne s’annonçait jamais, et il n’attendait personne. Ce devait être un démarcheur ou un voisin, et il y avait longtemps qu’il ne connaissait plus aucun de ces derniers. Le quartier donnait l’impression de changer tous les deux ou trois ans et au bout de trois décennies de ce manège, il avait cessé de se porter à la rencontre des nouveaux venus. En fait, il aimait assez être le vieux flic grincheux du coin sur lequel on avait peur de tomber.
Mais une voix qui l’appelait par son prénom accompagna le second coup de sonnette. Et c’était une voix qu’il reconnut.
— Harry, je sais que tu es là. Ta voiture est devant.
Il ouvrit le tiroir de la table. Il contenait des couverts en plastique, des serviettes et des baguettes récupérés dans des sacs de nourriture à emporter. D’un balayage de la main, il poussa les pilules dans le tiroir, et le referma. Puis il se leva et gagna la porte.