Isabelle, l’après-midi par Douglas Kennedy. Voici le résumé et l’extrait du livre, les votes et avis des lecteurs ainsi que l’accès direct au livre.
Isabelle, l’après-midi, après La Symphonie du hasard, Douglas Kennedy nous offre une œuvre sensuelle, délicate, nostalgique, sur les amours contrariées, le destin que l’on se forge et les regrets qui peuvent jalonner l’existence. C’est aussi sa déclaration d’amour à Paris, ville de tous les possibles et de toutes les réinventions.
Avant Isabelle, je ne savais rien du sexe.
Avant Isabelle, je ne savais rien de la liberté.
Avant Isabelle, je ne savais rien de la vie.
Douglas Kennedy est né à New York en 1955, et vit entre les Etats-Unis, le Canada et la France.
Voici le résumé et l’extrait de son nouveau roman.
Isabelle, l’après-midi, le résumé :
Paris, début des années 1970.
Dans une librairie de la rive gauche, un jeune homme rencontre une femme. Il est américain, étudiant, sans le sou, et a tout quitté pour assouvir ses fantasmes de la Ville Lumière ; elle est française, un peu plus âgée, sophistiquée, mystérieuse et… mariée.
Entre Sam et Isabelle, c’est le coup de foudre.
Commence alors une liaison tumultueuse, des cinq à sept fiévreux, des rendez-vous furtifs, des moments volés. Mais Sam veut plus. Isabelle lui a ouvert les portes d’une autre vie mais est-elle prête à tout lui sacrifier ? La passion saura-t-elle résister au quotidien, aux épreuves et au temps qui passe ?
Isabelle, l’après-midi, l’extrait :
Quelque part, j’avais toujours voulu être père. Si seulement Isabelle avait accepté, j’aurais eu un enfant avec elle…
Pour moi, donner la vie était la plus grande expression de l’amour dans un couple. Je savais aussi que je vivrais toujours sous l’ombre de mon père qui, de par son triste caractère, n’avait jamais été présent pour moi. Il y avait donc dans mon désir de devenir père une volonté de montrer à cet homme qui m’avait courtoisement évité toute ma vie que, contrairement à lui, je saurais me montrer disponible et aimant. Et, même si la responsabilité de parent me terrifiait, j’espérais que l’arrivée d’un enfant saurait réveiller l’amour profond que j’avais autrefois partagé avec Rebecca, et qui, au fil des années, avait reculé face à la pression de nos carrières respectives et à la compétition qui nous opposait.
En bon avocat, je croyais encore que tout problème, même le plus grave, avait une solution, et je restais persuadé qu’après le chaos venait la rédemption.
Accès direct au livre :