Dernier souffle par Karin Slaughter. Voici le résumé et l’extrait de l’histoire, les votes et avis des lecteurs ainsi que l’accès direct au livre.
N°1 sur les listes internationales de best-sellers, Karin Slaughter est l’un des auteurs les plus populaires et les plus plébiscités dans le monde.
Publiée en trente-trois langues et vendue à plus de trente millions d’exemplaires, elle est l’auteur de nombreux romans dont Au fond des bois.
Dernier souffle, le résumé:
À l’âge de treize ans, Charlie Quinn a vu son enfance voler en éclat quand sa mère a été abattue sous ses yeux. Désormais avocate, elle met un point d’honneur à défendre ceux qui n’ont personne vers qui se tourner. Exactement comme Flora.
Orpheline, cette adolescente possède un fonds important, légué par sa mère, qu’elle ne peut utiliser puisqu’elle est mineure et placée sous la responsabilité de ses grands-parents.
Problèmes : papi et mamie lui soufflent sa fortune par des biais illégaux…
Flora n’a qu’une solution : obtenir son émancipation précoce.
Émue par son cas, Charlie décide de tout faire pour l’aider.
Flora est fragile, touchante, brillante, courageuse et si… innocente ?
Extrait:
…Si tu leur montres une vidéo du gamin en train de voler un vélo et de le revendre, ils vont te répondre « Il a dû confondre avec son vélo à lui » ou « Quelqu’un a dû l’obliger ».
C’est comme ça, le cerveau nous fournit toujours une explication alternative. On ne peut pas accepter que son enfant chéri ait commis un délit. Tu sais, même les types dans le couloir de la mort reçoivent toujours la visite de leur maman. Elles ne les abandonnent pas. Je suppose que c’est comme ça : on ne lâche jamais ses gosses…
…Qu’un client vous mente, c’était une chose. Ça arrivait tous les jours, et même plusieurs fois par jour. Mais Flora Faulkner n’avait pas seulement menti. Elle l’avait manipulée. Elle avait joué sur sa corde sensible, le souvenir de sa mère. Une blessure qui restait à vif chez Charlie, au point que les larmes lui venaient chaque fois qu’elle pensait à ce jour où Gamma avait rendu son dernier souffle.
Charlie s’était trouvée à quelques mètres à peine du fusil. Quand elle se laissait aller à revivre la scène, elle sentait encore le jet de sang chaud qui l’avait frappée au visage. Le sang de sa mère, qu’une décharge de chevrotine venait de littéralement ouvrir en deux.
Et Flora avait utilisé cette tragédie non seulement comme un levier, mais comme une arme. Une arme de poing. Une batte de base-ball. Un cocktail Molotov qu’elle avait lancé droit dans le cœur de Charlie…
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