Depuis que je l’ai vue par Emma Quinn. Voici le résumé et l’extrait de l’histoire, les votes et avis ainsi que l’accès direct au roman.
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Depuis que je l’ai vue, le résumé :
Après la mort de sa sœur, Amy devait dorénavant s’occuper de sa jeune nièce Iris. Elle emménagea en ville, dans un minuscule appartement au milieu d’un quartier mal famé. Ce n’était pas l’idéal, mais elle ne pouvait pas se permettre mieux avec son statut de comptable sans emploi tout juste diplômé de l’université.
Amy avait besoin d’argent, et elle était prête à accepter n’importe quel boulot pour qu’Iris puisse vivre confortablement.
Même si ce boulot impliquait de porter une mini-jupe en servant des cocktails hors de prix à des pervers bruyants pleins aux as.
Mais elle ne s’attendait absolument pas à craquer pour le pire d’entre eux : Jensen Malone.
Il est canon. Incroyablement sexy. Mauvais comme le diable.
Et il l’appelle sa petite princesse.
L’extrait :
Puis elle sourit gentiment et pressa les bouts de ses doigts à ses lèvres, et lui envoya un baiser volant. II y avait quelque chose de final au moment où elle se retourna et le laissa recroquevillé sous son lit dans la pièce sombre. Peut-être que c’était pour cela qu’il ne resta pas sous le lit comme on lui avait dit, même s’il savait que le ton sérieux de sa mère et l’urgence dans la voix de son père en bas signifiaient qu’il devait écouter.
Quand elle ferma la porte derrière lui, Jensen patienta un long moment. II s’attendait à moitié à entendre un bruit sec quand elle ferma la porte à clef, mais cela aurait été inutile de toute façon. II savait crocheter une putain de serrure. Les enfants à l’école s’en étaient assurés.
Après quelques instants, lorsque l’ombre de sa mère eut disparu, Jensen rampa pour sortir de sa cachette sous le lit.
II connaissait les règles des soirs comme celui-ci.
Rester à l’abri des regards. Ne pas faire de bruit.
Ne pas sortir jusqu’à ce que ses parents viennent le chercher.
Et s’il voyait quelque chose de mal, s’enfuir en courant.
Mais ce soir-là il ignora les règles. II traversa la chambre à pas de loup, se dirigea vers la porte et l’ouvrit jusqu’à ce que la lumière du couloir rentre dans la pièce. II entendait des voix assourdies venant d’en bas. Elles ne semblaient pas amicales. En poussant la porte un peu plus, il la maudit quand elle émit un long grincement geignant. II s’arrêta pour voir si quelqu’un avait entendu le bruit.
Accès direct au livre
Ce roman a obtenu grâce au nombre de votes et à la qualité des commentaires des lecteurs : La Médaille d’Or des Lecteurs.
