Le troisième roman de Gabrielle Desabers, D’ici ou d’ailleurs, découvrez le résumé du livre, les avis des lecteurs et quelques mots sur son auteur.
Gabrielle Desabers est Bretonne. Elle a choisi de se consacrer exclusivement à l’écriture depuis plus de 10 ans.
Ses romans mêlent avec succès des histoires de vies contemporaines à des faits historiques. Ses personnages attachants vivent les mêmes émotions que les vôtres.
Avec son troisième roman, plongez dans une intrigue étonnante mêlant un cheminement personnel à une période méconnue de l’histoire de France des années 1960.
L’histoire:
Justine, jeune médecin, effectue une mission humanitaire dans un pays d’Afrique centrale. Confrontée aux expériences quotidiennes des joies et des peines de la maternité vécues par ses patientes, elle ouvre les yeux sur sa propre enfance. Comment sa mère biologique a-t-elle pu l’abandonner ? La nécessité de retrouver ses origines s’impose.
Deux hommes marqueront cette prise de conscience ou l’épauleront dans sa quête identitaire.
Par l’intermédiaire de Damien qui mène une enquête sur les détournements au sein de l’ONG, elle découvre les compromissions de ce milieu. L’aide aux populations en difficulté cacherait-elle des actes criminels ?
De son côté, Nicolas, expert dans les investigations familiales, l’assistera pour remonter le fil de son passé. Le parcours du combattant de la recherche des origines des enfants nés sous X lui ouvrira des portes insoupçonnées.
Cette enquête la mènera sur des pistes tortueuses en Afrique et dans différentes régions françaises.
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Extrait :
Justine a de plus en plus de mal à aborder avec le recul nécessaire les souffrances physiques et morales que sa pratique l’oblige à côtoyer au jour le jour.
À son arrivée au Budawi, sa froideur naturelle n’a pas plu aux autochtones. Puis, petit à petit, ces femmes ont appris à la connaître.
Elles ont découvert dans l’intimité de son cabinet de consultation, sa douceur, sa profonde humanité et sa grande compassion.
Malgré cette affection que lui portaient les autochtones, Justine se réjouissait d’avoir bientôt terminé sa mission.
Le peu de poids de son travail assidu dans l’étendue des souffrances que vivait la population de ce pays l’avait usé.
Dans trois mois, elle reprendrait le cours de son internat dans un hôpital lyonnais et quitterait définitivement la pression exercée par Damien Giraud.