Coup de foudre au chalet par Ava Król. Voici le résumé et l’extrait de l’histoire, quelques mots sur l’auteure ainsi que les avis des lecteurs.
Coup de foudre au chalet pour un plein d’émotion garanti.
Quelques mots sur l’auteure :
Ava Król et Ana Scott sont une seule et même personne, moi !
Eprise de littérature depuis toujours, je me suis lancée dans l’écriture pour mettre des mots sur des émotions, tout d’abord, et pour écrire des romances qui me ressemblent. Parfois ambigües, parfois sombres, en tout cas, jamais simples. J’ai commencé sur Wattpad puis Fyctia, et j’ai eu la chance d’être éditée.
Je suis aujourd’hui auteure à temps plein, j’écris pour trois maisons d’éditions, je me fais plaisir avec quelques romans en autoédition lorsque la frénésie d’écriture me gagne, et je remercie la vie pour cet incroyable cadeau.
Coup de foudre au chalet, le résumé :
Elle. Justine. Elle déteste Noël mais ce qu’elle déteste encore plus c’est la neige ! Alors quand son boss l’envoie à Megève rencontrer un irréductible autochtone qui contrarie leur projet immobilier, elle n’est pas loin de haïr tous les hommes de la création.
Lui. Adrien. Lui aussi déteste Noël mais ce qu’il déteste encore davantage, c’est que l’on vienne perturber sa solitude. Si seulement cette petite parisienne n’était pas aussi jolie…
L’extrait :
Depuis que j’ai trouvé mon petit copain au pieu avec une autre… Même si je n’étais pas foncièrement amoureuse (je me demande si j’arriverai l’être un jour !), j’ai été blessée dans mon amour propre, mais c’était certainement mieux ainsi.
Autant me rendre compte de sa vraie nature avant qu’il ne prenne trop d’importance dans ma vie. A ce stade de mon histoire, vous vous demandez certainement comment j’ai fait pour survivre tous les drames qui ont jalonné ma vie et pourquoi je ne suis pas allée me pendre au premier arbre venu. Ce å quoi je répondrais que mes grands-parents m’ont appris ne jamais baisser les bras et faire face l’adversité.
J’ai été orpheline l’âge de cinq ans, que peut-il y avoir de Pire pour un enfant que de grandir sans l’amour de ses parents ? Même si mes grands- parents me choyaient comme la prunelle de leurs yeux, la perte de mes parents a laissé une plaie béante dans mon âme. Que rien ni personne, jusqu’å ce jour, n’a réellement su soigner.
J’entre dans l’immeuble et traverse le hall, après avoir répondu, comme chaque matin, l’accueil chaleureux du gardien. Je me poste devant l’ascenseur et appuie sur le bouton, toujours perdue dans mes pensées.
Accès direct au livre :