Ceux qui contemplent l’abîme par Patrick Ferrer. Voici le résumé du roman, les votes et avis des lecteurs, quelques mots sur l’auteur ainsi que l’accès direct au livre.
Patrick Ferrer fait partie des nouveaux talents ayant émergé de l’auto-édition. Il a depuis toujours la littérature dans le sang. Patrick a été un temps bouquiniste sur les quais de Seine et a bourlingué dans divers métiers du livre avant de se consacrer à l’écriture.
Son roman noir, « Le baiser de Pandore », qualifié par l’Obs de « Thriller hors norme », a été sélectionné pour le Prix Amazon 2015 comme l’un des dix meilleurs ouvrages auto-édités de l’année. Il s’est déjà vendu à plus de dix mille exemplaires.
Le succès immédiat de ce premier roman lui a valu d’être publié à l’été 2017 par les éditions Incartade(s).
Patrick a également publié deux recueils de nouvelles fantastiques. Ses écrits courts sont régulièrement diffusés dans divers recueils et magazines nationaux. On le retrouve également sur les grands réseaux de diffusion numérique.
Voici Ceux qui contemplent l’abîme. Un thriller policier qui vous entraînera des couloirs sombres du quai des Orfèvres aux lacs brumeux du Danemark sur la piste d’un tueur aussi élusif qu’impitoyable.
Ceux qui contemplent l’abîme, le résumé:
Jibril al-Rahib est un homme discret. Au 36 quai des Orfèvres, où il officie en tant que « technicien de surface » après la tombée du jour, c’est à peine si les âmes en peine qui hantent ses longs couloirs le remarquent.
Le 36, c’est un peu la seule chose qu’il lui reste d’un passé douloureux. Soit, la disparition de sa femme des années plus tôt dans des conditions mystérieuses.
Aussi, lorsque pour rendre service à une jeune Danoise dont l’amie a elle aussi disparu, il doit endosser l’habit d’enquêteur amateur et plonger dans les dossiers de crimes sordides, il n’y va pas de gaîté de cœur.
Est-il bien prudent, pour un simple balayeur, de vouloir défier le mal absolu qui rôde entre les pages de ces dossiers? Et risquer ainsi de réveiller le spectre qui l’a une fois déjà privé de son âme ?
Comme le disait Nietzsche avant de sombrer lui-même dans la folie : lorsqu’on contemple trop longuement l’abîme, l’abîme ne finit-il pas par vous regarder en retour ?