Blanche par Matthieu Biasotto. Voici le résumé et l’extrait du roman, les avis des lecteurs ainsi que quelques mots sur l’auteur.
Quelques mots de l’auteur: Matthieu Biasotto:
Je suis auteur indépendant depuis 2014, édité depuis peu de manière « traditionnelle », j’ai fait le choix d’être libre et de vivre de ma plume.
Mon style se veut accessible, parfois rude, souvent existentiel. Je partage ma vie entre peinture et écriture, deux modes d’expression qui se complètent, finalement.
Si les couleurs m’offrent un plaisir instantané, mes textes sont un moyen de me connecter au monde, d’entrer dans les vies, dans les cœurs tout en m’amusant comme un enfant.
Je crois que cette vie d’artiste me colle à la peau, et je trouve qu’il n’y a pas de métier plus beau.
Après l’énorme succès de tous ses précédents romans, notamment du dernier, 72H, voici son nouveau thriller: Blanche.
Blanche, le résumé:
Une coupe de cheveux pour échapper à son passé : une petite fille, avec qui on a joué. Une poupée, que l’on pouvait coiffer. Blanche étouffe ses secrets, compose avec ses faiblesses, ses excès.
Son besoin de contrôle dissimule des cicatrices, sa réussite masque un profond traumatisme. L’injustice en fait une amie protectrice. Sans famille, elle reste une épouse fragile. Et sans racine, elle se sent incomplète, imparfaite. L’abandon l’oblige à vivre par procuration. Blanche désire plus que tout devenir mère.
Et si le destin en décidait autrement ? Entre mensonges et gouttes de sang. Un pied dans sa mémoire, un autre dans son présent. Derrière un voile de dentelles et de tulle… L’enfer l’attend.
Extrait:
Dans une démarche agile, il se fond dans la pénombre et évite soigneusement les rares filets de lumière. Roulant des mécaniques sur le parquet vieilli, il s’immisce entre culottes et débardeurs au pied du lit. D’un bond discret, tout en maîtrise, le félin rejoint le couchage et effleure un corps tiède qui ne réagit pas.
La boule de poils ébène s’offre un bâillement interminable puis s’allonge contre les reins dénudés de sa
brune préférée. Le doux ronronnement cède la place à un étirement satisfait, le museau posé délicatement sur le textile, aux côtés de la danseuse à la plastique gracile. S’en suivent un léger courant d’air et un épais silence. Enfin presque…
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