Au nom de quoi d’Amélie Antoine, voici le résumé du livre, les avis et votes des lecteurs ainsi que la biographie de l’auteur.
Amélie Antoine est une auteure auto-publiée, qui vient d’écrire son premier roman. Ce dernier est un véritable succès littéraire, mais elle reste très discrète à ce sujet. Elle a une trentaine d’année et vit à Lille. Depuis de nombreuses années, elle lit énormément; elle le dit elle-même: « je suis une dévoreuse de livres ».
Elle a constaté que la facilité que procure l’auto-édition ainsi que l’essor du livre numérique étaient une belle opportunité pour elle, et on peut dire que cela lui a réussi puisque son premier roman (Fidèle au poste) a été lu par pas moins de 20’000 lecteurs.
Avec ce roman, elle a gagné Le Prix Amazon de l’auto-édition, qui lui a été remis le 5 octobre 2015 à Paris par Lorant Deutsch.
Son second roman, Au nom de quoi, sort d’abord sous le pseudonyme de Dorian Meune. Ce texte-hommage aborde les attentats du 13 novembre 2015 au Bataclan par le biais de personnages fictifs.
Abigaëlle, Philippe, Sofiane, Bastien, Léopold.
Margot, Daphné, Théo, Lucas, et Romane.
Le 13 novembre 2015, tous verront leur vie basculer au Bataclan.
Les personnages de cette histoire sont fictifs. Imaginés, inventés. Tels peut-être qu’ils ont habité vos pensées, car ils sont nous tous.
Ce texte est un roman, mais c’est avant tout un hommage à toutes les victimes de ce jour-là. Celles qui n’ont pas survécu, celles qui luttent aujourd’hui pour continuer simplement à vivre.
Au nom de quoi n’est pas un témoignage. Ou plutôt si, c’est celui de la plus intolérable des réalités.
La moitié des bénéfices tirés de ce roman sera reversée à une association œuvrant en faveur des victimes du terrorisme.
Extrait :
« J’ai regardé des dizaines, des centaines de fois les visages de ces êtres humains massacrés ce soir-là au nom de rien. À force, j’ai eu l’impression de tous les connaître, de tous les aimer, d’être en deuil d’eux tous alors que je ne les avais évidemment jamais croisés de ma vie.
En boucle, j’ai vu et revu ces dizaines de silhouettes sombres qui s’échappaient du Bataclan, poursuivies par l’écho des rafales qui continuaient de retentir. En état de sidération devant la télévision, encore et encore. Paralysé, comme un certain 11 septembre, lorsque, à l’écran, des avions de la taille d’une mouche étaient venus s’encastrer dans deux tours gigantesques. « Ça ne peut pas être vrai. » J’étais adolescent en 2001 ; je suis adulte en 2015 ; les émotions sont les mêmes. S’y ajoute seulement la tristesse de se demander dans quel monde vont grandir nos enfants et comment on va bien pouvoir leur expliquer la folie des uns et l’impuissance des autres. »
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