Arrogant Lover par Anna Wendell. Voici le résumé du roman, un extrait, les votes et avis des lecteurs ainsi que l’accès direct au livre.
Découvrez à travers ce roman la plume enivrante d’Anna Wendell. Son récit vous plonge rapidement dans l’énigme et elle vous y emprisonne à coup de rebondissements et révélations.
Ses personnages sont également bien étudiés, vous allez vite être absorbé par le destins de ces derniers dont les vies sont totalement opposées mais qui vont se trouver et donner à Clémence et Xander, l’espoir d’un avenir plus lumineux, l’envie de s’améliorer et une chance de s’en sortir.
Il a vendu son âme au diable. Sera-t-elle sa rédemption ?
Arrogant Lover, le résumé:
L’avenir de Clémence est tout tracé et ne laisse place ni aux mauvaises surprises ni aux revirements inattendus.
Mais avant de s’y engager, la jeune femme s’accorde un délai pour découvrir le monde et s’envole vers les États-Unis.
Dès son premier jour à Los Angeles, tout bascule : elle est percutée par une Ferrari ! Le conducteur, Xander, est aussi beau qu’arrogant, aussi autoritaire qu’attirant. Et bien déterminé à ne pas la laisser filer!
De nuits de passion en secrets dangereux, les deux amants n’ont pas fini de se surprendre !
Extrait:
– Ah les touristes… marmonne l’inconnu à la Ferrari avant de vérifier l’état de sa calandre.
Je sursaute en entendant ses mots, puis pique un fard en ravalant mon sourire. Ce type me donne la curieuse impression d’être un enfoiré ! Il finit tout de même par délaisser son bolide pour me dévisager. Avec un grognement agacé, il me tend la main.
– Vous n’allez pas rester toute la journée assise là à me mater ? Vous êtes blessée ?
Le mater ? Quelle arrogance !
Je n’ai jamais eu aussi honte de ma vie, d’autant plus que je me rends compte de ma mauvaise foi…
Incapable de répondre, j’attrape ses doigts, qui se referment sur les miens et me relèvent d’un geste brusque. Étourdie, je perds de nouveau l’équilibre et me retrouve contre son torse. Mes tripes se mettent à danser la salsa sans que je ne puisse rien contrôler ; il a effectivement un corps parfait…
Ses muscles se crispent quand il saisit mes avant-bras pour m’écarter fermement. Ses iris flamboyants s’accrochent quelques secondes aux miens. Je discerne un trouble furtif voiler son regard, bien vite remplacé par un éclat glacial, qui loin de me refroidir, m’offre une superbe bouffée de chaleur.
– Non, enfin si, mais ce n’est pas vous, je crois que je me suis tordu la cheville, balbutié-je en anglais, d’une voix rendue rauque par le stress. Je suis désolée, ça ira. Je viens d’arriver et…
– Montez et ne discutez pas.
– C’est gentil à vous, mais…
– Je ne suis pas gentil, ne vous méprenez pas. Je dois juste me couvrir au cas où vous me colleriez un procès aux fesses par la suite.