Jérôme Cazes est né à Paris en 1954. Il a travaillé plus de vingt ans dans le secteur financier, entre autres, comme directeur général de l’assureur Coface et enseignant à HEC en gestion des grands risques financiers. Il a pu constater que, progressivement, la banque spéculative avait de plus en plus d’emprise sur la finance, puis sur toute l’économie, et il en a été profondément dégoûté.
Cette constatation et le dégoût qui en suivit l’ont motivé à dénoncer ce danger dans un thriller: 555, jeudi rouge.
DES INDIGNEES CONTRE LA SPECULATION BANCAIRE.
À peine terminée, la crise financière revient ! Eh oui ! encore… après Lehman, après la Grèce…
Princes de la finance et énarques des palais de la République s’organisent pour en tirer à nouveau un maximum de pouvoir et de profit. Mais il y a cette fois un grain de sable : une réjouissante galerie d’héroïnes indignées et attachantes, de l’universitaire manchote à la jeune star du porno de Hong Kong.
Elles viennent contrarier les manoeuvres des puissants, en jouant des réseaux sociaux et des nouvelles technologies.
Tous feront face à 555, l’ultime catastrophe avant l’apocalypse. Une description très simple et captivante des ravages de la spéculation bancaire et des révoltes encore possibles. Un affrontement prémonitoire, à l’heure d’Occupy Wall Street ?
Un thriller passionnant et positif à découvrir en visitant: 555, jeudi rouge de Jérôme Cazes